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Le Huffington Post


"...Dans un certain milieu que je connais bien, on ne se pencherait pas volontiers sur Alexandra Bitouzet. Ou alors en faisant une sorte de moue curieuse: Bitouzet? Ça vient d'où? C'est pas sérieux...Certes, en apparence Bitouzet c'est moins chic que Steiner ou Besson, en apparence...Et puis, qui est-elle? D'où vient-elle? Elle ne vit même pas à Paris, on ne la voit jamais, elle n'a pas la culture, ni les codes, ni le cursus, ni rien; la preuve, il paraît même qu'elle ferait des fautes d'orthographe! Alexandra Bitouzet, que j'ai connue via Facebook, est une sauvage de l'écriture, elle écrit à la sauvage. Elle écrit et c'est un cri et une musique. On pourra dire ce qu'on veut, que c'est encore maladroit, trop spontané, trop naïf ou que sais-je encore, elle a l'oreille aussi absolue que la langue pendue. Je ne sais pas si elle a un rapport particulier au soleil ou à la lune ou à la terre mais au souffle, oui, à la vitesse, oui, à la respiration, oui. Elle a compris qu'à l'origine de toute littérature, il y a un cri, qu'il soit muet ou pas, qu'il soit explosif ou d'étouffement. Un cri qu'on développe sans fin, ce cri que je souhaite à Alexandra de développer encore longtemps." Olivier Steiner

Editions Emoticourt sur e-Pagine.

 

"Des quelques textes courts d’Émoticourt que j’ai été amené à lire, j’ai surtout été impressionné par deux voix que je ne connaissais pas encore: Alexandra Bitouzet et Laurent Herrou. Alexandra Bitouzet publie Ultra black et Crash test, deux premiers recueils de nouvelles très noires, grinçantes, dérangeantes, délicieusement amorales et qui, dans un style énergique, direct et percutant, nous entraîne dans l’intimité sombre de quelques couples a priori quelconques mais tous animés par la perversion, la haine de l’autre et l’esprit de vengeance..."

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